Gestion des espaces verts urbains

Hippo-débroussaillage

La Ville d'Antibes a développé un partenariat avec l'association Defend Horse qui reccueille des chevaux ou des ânes maltraités ou en fin de vie.  Elle met ainsi à disposition un certain nombre de terrains et le matériel nécessaire pour que les équidés puissent paitre tranquillement et assurer ainsi un entretien 100% naturel. 

Éco-pâturage

Dans le prolongement de l'hippo-débroussaillage, la Ville d'Antibes entretient quatre terrains grâce à un troupeau de moutons ce qui évite le recours à des interventions mécaniques bruyantes et polluantes. Les moutons font ainsi le bonheur des enfants qui peuvent venir les voir lorsqu'ils sont installés dans le bassin de rétention du pôle d'échange d'Antibes ou à l'arrière de l'école Jean Moulin.

Zéro-Phyto

Depuis 2017; la Ville d'Antibes mène une politique très strict zéro-phyto dans le traitement de ses espaces verts et des trottoirs. Cette politique s'est concrétisée par l'abandon de tout produit chimique et le recours à des méthodes de traitement naturelles comme le déploiment de coccinelles pour traiter les rosiers, la diversification des plantations ou l'utilisation de produits labelisés bio. 

Arbres remarquables

La Ville d'Antibes a classé 174 arbres remarquables qui bénéficient désormais d'une protection renforcée afin d'empêcher tout abbatage ou tout élagage draconien. Ces arbres sont issus du domaine public mais également de propriétés privées à la suite d'une vaste consultation citoyenne. Ils ont été sélectionnés en fonction de plusieurs critères: âge, espèce, taille, caractère patrimonial...

En parrallèle, la ville d'Antibes poursuit sa politique de plantations d'arbres adaptés au changement climatique. Ainsi, 900 arbres ont été plantés en 2021 sur le territoire communal.

Agriculteur et apiculteurs

Riche d'un patrimoine horticole important et toujours présent, la Ville d'Antibes Juan-les-Pins souhaite promouvoir les exploitations agricoles sur son territoire. Une agricultrice s'est ainsi vu proposer un vaste terrain chemin de l'orangerie et cultive ses légumes dans le strict respect des exigences de la permaculture. Elle partage son terrain avec un des trois apiculteurs installés sur le territoire sur des parcelles mises à disposition de la commune afin de lutter contre le déclin du nombre d'abeilles constaté depuis plusieurs années.