ANTIBES RETROUVÉ RASSEMBLEMENT NATIONAL ANTIBES

«  Aujourd’hui on vit côte à côte… Je crains que de- main on vive face à face  ». Quelques jours après le décès de l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, cette formule prononcée il y a cinq ans déjà, prend désormais tout son sens.

Pression migratoire ; permanence du terrorisme islamique sur le sol européen ; meurtre d’un jeune Français de 16 ans au cours d’une fête de village, victime du racisme anti-blanc d’une  bande de racailles venues d’une cité de la ville voisine… Ces dernières semaines, quelque chose a changé et malgré la propagande politico-médiatique, les Français ont compris : il y a sur le sol national des gens qui nous détestent. À cet effet, la politique du logement social que nous passons notre temps à dénoncer, corollaire d’une immigration de peuplement effrénée, peut légitimement être pointée du doigt comme un facteur aggravant.

Depuis peu, l’aveuglement volontaire a laissé place à la lucidité. Lucidité sur l’immigration, lucidité sur l’islamisme, lucidité sur l’argent sale généré par le trafic de drogue (ayant provoqué une fusillade au milieu de l’été en plein cœur de Juan-les-Pins) et sur l’argent public gaspillé pour acheter la paix sociale dans les zones de non-France, lucidité, enfin, sur les raisons profondes qui conduisent aux tragédies auxquelles nous faisons face quotidiennement. Pas plus tard que le 27 novembre dernier, la maire de Romans-sur-Isère redoutait «  d’autres drames, dans les villes où les citoyens aspirent à la tranquillité  » ; drames de même nature que l’atroce assassinat du jeune Thomas. À l’heure où les chiffres de l’insécurité explosent dans les Alpes-Maritimes, ce dernier aurait d’ailleurs pu se produire lors de n’importe quelle fête populaire qui rythme Antibes ou Juan- les-Pins.

Dorénavant, cette lucidité doit néanmoins nous guider vers un optimisme résolu. Ce que l’État et Emmanuel Macron, motivés par 40 ans d’idéologie anti-nationale, se refusent à faire, les Français sont, eux, prêts à l’assumer : se serrer les coudes, préserver nos familles, reconquérir nos quartiers.

Alors que nous allons bientôt fêter Noël, qui porte depuis 2000 ans un message d’espérance et de joie sans égal, offert à tous ceux qui croient comme à ceux qui ne croient pas, cette prise de conscience populaire doit nous encourager et nous redonner confiance en l’avenir. En ces temps troublés et face à un État incapable de nous protéger des véritables menaces qui pèsent sur notre pays, refaire communauté passera obligatoirement par ces moments d’unité et de solidarité. L’an prochain encore, les Antibois et les Juanais pourront compter sur nous pour les rassembler, sans laisser personne de côté.

Arnaud Vié, Monique Gagean, Françoise Vallot, Daniel Foti
arnaud.vie@ville-antibes.fr

VOUS N’AVEZ PAS FINI DE PAYER POUR CEUX QUI NOUS HAÏSSENT !

Plus de 700 policiers et gendarmes blessés, près de 12.000 véhicules incendiés, un millier de commerces détériorés, 2.500 bâtiments dégradés dont 289 commissariats et gendarmeries, 168 écoles et 105 mairies, qui ont conduit à 3.500 interpellations, et des dégâts chiffrés à plusieurs centaines de millions d’euros : c’est le bilan établi par le ministère de l’Intérieur, des émeutes qui se sont déroulées en juillet dernier.

Quelques jours après cette semaine de violence inédite, lors de laquelle la gauche et le gouvernement se sont rendus complices du chaos, se tenait une séance du conseil municipal à Antibes. A cette occasion, le maire Jean Leonetti déposait une motion de soutien aux forces de sécurité, aux élus locaux, et à tous les services publics.

Si notre groupe a, bien entendu, souscrit à cette volonté de soutenir l’ensemble des femmes et des hommes agressés dans l’exercice de leurs fonctions, nous en avons aussi profité pour rappeler qu’il n’existait pas de privilège particulier en faveur des élus, et pour revenir sur un certain nombre de points fondamentaux. Si notre commune a cette fois été épargnée, l’incident qui a servi de prétexte à ce déchaînement barbare pourrait cependant arriver demain chez nous, chez vous. Le 19 août dernier, au milieu de l’après-midi, un homme était d’ailleurs grièvement blessé par arme à feu dans un salon de coiffure, en plein coeur de Juan-les-Pins. Force d’opposition et de proposition, nous passons notre temps à alerter la municipalité sur la montée de la délinquance à Antibes, qui se traduit par une multiplication des vols et des agressions. Tout cela était-il prévisible ? Si Emmanuel Macron ose encore se poser la question, nous répétons depuis des années, souvent seuls contre tous, que cette immigration folle, massive, conduira un jour ou l’autre à la catastrophe. Forces de l’ordre, pompiers, maires, services publics… alors que certains brandissaient une quelconque excuse sociale, c’est bien ce qui représente la France qui a été attaqué.

Depuis 40 ans, l’État dépense 10 MILLIARDS D’EUROS PAR AN pour la politique de la ville. Malheureusement, les réactions politiques qui ont fait suite à ce prodrome de guerre civile laissent crainte le pire. Plutôt que de sanctionner durement les familles de délinquants et de s’en prendre à l’immigration anarchique qui gangrène notre pays, nos dirigeants ont d’ores et déjà sorti le carnet de chèque. Chers Antibois, chers Juanais, ne vous y trompez pas : encore une fois, c’est avec vos impôts que sera reconstruit tout ce qui a été brûlé, pillé et saccagé par ceux qui nous haïssent !.

Arnaud Vié, Monique Gagean, Françoise Vallot, Daniel Foti 

Contacter arnaud.vie

LUTTONS CONTRE LE BÉTONNAGE DE NOTRE COMMUNE !

En l’espace de soixante ans, la surface urbanisée d’Antibes est passée d’un quart aux trois quarts ! Sans pour autant faire preuve de nostalgie, la vitesse invraisemblable de cette transformation doit nous alerter sur l’urgence à préserver la biodiversité et à maintenir des espaces naturels dans la cité des remparts. Or, non seulement la municipalité a énormément construit ces dernières décennies, mais elle continue de le faire aujourd’hui.

Le pire, c’est que la problématique du logement demeure centrale et constitue désormais l’un des principaux enjeux de notre territoire.
D’une part, la commune d’Antibes se soumet avec zèle aux injonctions de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU), texte promu par la gauche (gouvernement Jospin) et entretenu par le gouvernement actuel, qui accélère la densification urbaine et la transformation sociale de la ville.
À l’occasion du plan local d’urbanisme 2021, Jean Leonetti faisait notamment le choix de fixer à 40% le volume de logement social exigé dans les nouveaux bâtis. D’autre part, nous ne pouvons que constater qu’il existe une forte proportion de résidences secondaires, vacantes la plus grande partie de l’année. Hors saison estivale, ce n’est pas moins de la moitié des logements juanais qui sont inoccupés ! Ce phénomène entretient une tension insoutenable et des prix exorbitants sur le marché de l’immobilier et favorise donc, hélas, le bétonnage incessant. C’est en ce sens que nous avons proposé, lors du Conseil municipal du 17 février dernier, de majorer la taxe d’habitation sur les résidences secondaires à hauteur de ce qui se fait à Villeneuve-Loubet, Saint- Laurent-du-Var ou Mouans-Sartoux.
Une proposition reprise partiellement par la municipalité, qui permettra de dégager 2.5 millions d’euros supplémentaires de recettes fiscales. Nous exhortons désormais Jean Leonetti à mettre à profit ces recettes pour réduire les charges impactant l’ensemble des Antibois.

Mettre un coup d’arrêt à la densification urbaine qui traverse les différents projets de l’actuelle majorité, maintenir et protéger les espaces verts qu’il nous reste, lutter contre l’artificialisation des sols : tels sont les principes directeurs qui nous guident depuis notre élection en 2020. En nous opposant constamment à ces grands projets de construction et de bétonnage, nous veillons à protéger les espaces naturels et la qualité de vie des riverains, tout en encourageant le développement d’une agriculture de proximité.

Arnaud Vié, Monique Gagean, Françoise Vallot, Daniel Foti 
arnaud.vie@ville-antibes.fr